Dit artikel in het NL is nog in verwerking, sorry Pour les 45 ans du Jumelage - un heureux hasard - le projet LIVE a démarré, piloté en Belgique par l’ADA (Auto-Développement Afrique) et réalisé au Rwanda par l’APROJUMAP (Association pour la Promotion des Jumelages et de l’Amitié entre les Peuples).
Ce projet de „Lutte Intégrée contre la Vulnérabilité et l’Exclusion” vise à améliorer le bien-être et la sécurité alimentaire et économique de 918 ménages d’agriculteurs rwandais très vulnérables, soit environ 4.590 personnes dans 3 entités rwandaises jumelées (Cyanika, Mbazi-Simbi, Rusatira-Kinazi). Il est financé pour 15% par l’ADA, 11.11.11 et les 3 communes belges jumelées (resp. Kraainem, Woluwe-St-L, Ganshoren), et cofinancé (85%) par la coopération fédérale (DGD).
En 2007 avec les projets SOLIVES et REPRECO, l’ADA et l’APROJUMAP se sont rendues compte que certaines personnes très vulnérables n’avaient pas accès aux projets de développement et cela pour 4 raisons :
ADA et APROJUMAP ont donc adopté une méthodologie globale adaptée à la grande pauvreté : celle du Mouvement ATD. Elle repose sur la création de communautés solidaires de vulnérables. Ils réfléchissent ensemble entre eux, s’entraident, créent des tontines… Cette méthodologie a acquis au Rwanda un effet de rayonnement, constaté par l’ADA lors de l’évaluation du projet ‘SOLIVES’. Pour 1 famille inclue dans le projet, 2.3 autres familles voisines l’imitaient. Plus de détails dans le mensuel de juin 2017.
Dès 2018, le projet LIVE a aussi fait le choix d’une approche agro-écologique, adaptée aux conditions sociales, économiques et environnementales des ménages. Plus de détails dans le mensuel de janvier 2019.
Dans les secteurs de Rusatira et Kinazi, l’APROJUMAP a travaillé avec 121 familles démunies regroupées en 4 pré-coopératives. Ces familles pauvres ont été sélectionnées entre elles lors des réunions populaires, en collaboration avec les administrations locales.
Les activités réalisées montrent une progression des bénéficiaires dans la recherche de solutions. Le plaidoyer ainsi que les actions du projet se poursuivent et il y a l’espoir de sortir progressivement de la situation précaire dans laquelle vivaient ces bénéficiaires.